Sombre journée, sombre pensées,
la tête perdu au milieu des tourments,
le regard hagard vidé,
comme si le temps était en suspend.
Sonder son coeur, son être,
une tâche ardue paniquante,
s'arrêtant sur une envie de disparaître,
d'échapper à cette existence blessante.
Aucune lumière, aucune étincelle,
juste un sentiment inexplicable,
qui empêche la fin de ce réel,
pour nous rendre le goût des fables.
Une saveur de rêve,
aux effluves suaves qui chassent l'amertume,
endors la douleur de l'immonde sous la sève,
d'une promesse de lendemain plus doux qu'une plume...
mortuos-voco
mortuos-voco
Mercredi 21 août 2013 à 17:31
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